Alliance biblique française

Bible en 1 an 153

Voici les passage du jour pour la Bible en 1 an :

Texte(s) biblique(s)

Cantique 1

1Le plus beau de tous les chants. De Salomon.

Elle et lui. Le dialogue des amoureux

Elle

2Des baisers, des baisers

à pleine bouche !

Tes caresses m'enivrent

plus que le vin.

3Ton huile parfumée

sent si bon !

Toute ta personne est

un parfum raffiné ;

il n'est pas étonnant

que toutes les filles

soient amoureuses de toi !

4Prends-moi par la main,

entraîne-moi et courons !

Tu es mon roi,

conduis-moi dans ta chambre,

nous serons dans la fête et dans la joie

grâce à toi ;

nous célébrerons tes caresses

plus enivrantes que le vin.

Oui, elles ont bien raison

d'être amoureuses de toi !

5Je suis noire

et belle aussi !

comme les tentes des bédouins,

comme les tapisseries de luxe.

Filles de Jérusalem,

6ne me regardez pas comme ça,

parce que ma peau est brune :

c'est le soleil qui m'a brûlé :

mes frères se sont fâchés

contre moi

et ils m'ont imposé

de surveiller les vignes.

Mais pour ma vigne à moi,

je ne veux pas être surveillée !

7Toi que mon cœur aime, dis-moi

où tu fais paître ton troupeau,

où tu le mets au repos, vers midi.

Ainsi je n'aurai pas l'air

de vagabonder

près des troupeaux de tes camarades.

Autres

8Si tu ne le sais pas,

toi la plus belle des femmes,

suis les traces des moutons,

et conduis tes jeunes chèvres

près des cabanes de bergers.

Lui

9Ma tendre amie,

tu as aussi belle allure

que le cheval de parade

attelé au char du pharaon.

10Tes joues sont belles

entre tes boucles d'oreilles.

Ton cou est élégant

sous ton collier de perles.

Autres ?

11Nous ferons pour toi des boucles d'oreille en or

avec des incrustations d'argent.

Elle

12Pendant que mon roi est à son festin,

mon parfum de nard répand sa senteur.

13Mon bien-aimé est pour moi

comme un sachet de myrrhe

qui repose entre mes seins ;

14mon bien-aimé est pour moi

comme une grappe de fleurs de henné

parmi les vignes d'En-Guédi.

Lui

15Que tu es belle,

ma tendre amie,

que tu es belle !

Tes yeux ont le charme des colombes.

Elle

16Toi aussi, mon bien-aimé,

tu es beau, tu es magnifique.

Notre lit, c'est la verdure,

17les branches des cèdres

forment les poutres de notre maison,

les cyprès en sont les cloisons.

Cantique 2

1Et moi, je suis une fleur

de la plaine du Saron,

un lys des vallées.

Lui

2Oui, un lys

parmi les ronces,

telle est ma tendre amie

parmi les jeunes filles !

Elle

3Un pommier parmi les arbres de la forêt,

tel est mon bien-aimé

parmi les jeunes hommes !

À son ombre,

j'ai plaisir à m'asseoir

et je trouve à ses fruits

un goût délicieux.

4Il m'a conduite au palais de l'ivresse,

et l'étendard qu'il déploie sur moi,

c'est l'amour.

5« Vite, des gâteaux de raisin

pour me rendre des forces,

et des pommes pour me réconforter,

car je suis malade d'amour ! »

6Sa main gauche soutient ma tête,

son bras droit enlace ma taille.

Elle ou Lui

7Filles de Jérusalem,

au nom des gazelles et des biches en liberté,

je vous le demande instamment :

n'éveillez pas, ne réveillez pas

mon aimée

avant qu'elle le veuille !

C'est lui qui arrive

Elle

8Écoutez, c'est mon bien-aimé,

c'est lui qui arrive !

Il franchit d'un bond les montagnes

et saute par-dessus les collines.

9On dirait une gazelle ou un jeune cerf.

Le voici qui s'arrête

derrière notre mur,

il cherche à voir à travers la fenêtre,

il jette un coup d'œil

à travers le treillage.

10Et maintenant il me parle :

« Allons, ma tendre amie,

ma belle, viens !

11L'hiver est passé,

la pluie a cessé, elle s'est éloignée.

12On voit les champs se couvrir de fleurs ;

c'est le temps où tout chante.

On entend dans le pays

la tourterelle qui roucoule.

13Les premiers fruits

grossissent sur les figuiers,

les vignes sont en fleur

et répandent leur parfum.

Allons, ma tendre amie,

ma belle, viens !

14Ma colombe,

blottie au creux des rochers,

cachée dans la falaise,

montre-moi ton visage ;

fais-moi entendre ta voix,

elle est si agréable,

et ton visage est si joli ! »

Autres ?

15Attrapez-nous les renards,

ces petits renards

qui ravagent nos vignes,

quand notre vigne est en fleur.

Elle

16Mon bien-aimé est à moi

et je suis à lui.

Il trouve sa pâture

là où poussent les lys.

17À la fraîcheur du soir,

quand les ombres s'allongeront,

tu reviendras, mon bien-aimé,

semblable à une gazelle

ou à un jeune cerf

sur les monts séparés.

Cantique 3

Elle rêve qu'elle part à sa recherche

Elle

1Sur mon lit, pendant la nuit,

je cherche celui que mon cœur aime,

je le cherche, et je ne le trouve pas.

2Oui, je veux me lever,

parcourir la ville, les rues, les places,

partir à la recherche de celui que mon cœur aime.

Je le cherche, et je ne le trouve pas.

3Mais je rencontre les gardes,

qui font leur ronde dans la ville :

« Avez-vous vu celui que mon cœur aime ? »

4À peine les ai-je dépassés,

que je trouve celui que mon cœur aime.

Je lui prends la main,

je ne le lâcherai plus

avant de l'avoir fait entrer

dans la maison de ma mère,

dans la chambre de celle qui m'a conçue.

Elle ou Lui

5Filles de Jérusalem,

au nom des gazelles et des biches en liberté,

je vous le demande instamment :

n'éveillez pas, ne réveillez pas

mon aimée

avant qu'elle le veuille !

Elle ?

6Qu'est-ce qui arrive du désert

comme une colonne de fumée,

dans un nuage odorant de myrrhe, d'encens

et de parfums exotiques de toutes sortes ?

7C'est le lit à porteurs du roi Salomon,

entouré de soixante hommes d'élite,

parmi les plus vaillants d'Israël.

8Ils sont tous armés de l'épée

et entraînés au combat.

Chacun porte son arme à la hanche

pour faire face aux dangers de la nuit.

9Le roi Salomon s'est fait construire

un siège à porteurs en bois du Liban.

10Il a fait faire les supports en argent,

le dossier en or,

le siège en tissu de luxe.

Les filles de Jérusalem

ont arrangé l'intérieur avec amour.

11« Ah, filles de Jérusalem,

venez donc voir le roi Salomon !

Il porte la couronne de mariage

que lui a remise sa mère

en ce jour de noces où il est tout à la joie. »

Cantique 4

Lui

1Que tu es belle,

ma tendre amie,

que tu es belle !

Derrière ton voile

tes yeux ont le charme des colombes.

Ta chevelure évoque

un troupeau de chèvres

qui dévale du mont Galaad.

2Tes dents me font penser

à un troupeau de moutons

fraîchement tondus,

qui remontent du point d'eau.

Chacune a sa sœur jumelle,

aucune ne manque à l'appel.

3Un ruban rouge : ce sont tes lèvres ;

ta bouche est ravissante.

Derrière ton voile

tes pommettes sont rouges

comme une tranche de grenade.

4Ton cou a l'aspect

de la tour de David,

bâtie toute ronde.

Mille boucliers y sont suspendus,

les boucliers ronds de tous les héros.

5Tes deux seins sont comme deux faons,

les jumeaux d'une gazelle,

qui trouvent leur pâture

là où poussent les lys.

6À la fraîcheur du soir,

quand les ombres s'allongeront,

je compte bien venir

à ta montagne de myrrhe

et à ta colline d'encens.

7Ma tendre amie,

tu es toute belle,

il n'y a en toi aucun défaut !

8Viens avec moi, ma fiancée,

quitte les monts du Liban

et viens avec moi ;

descends des sommets de l'Amana,

du Senir et de l'Hermon.

Fuis ces repaires de lions,

ces montagnes pour panthères.

9Par un seul de tes regards

tu me fais battre le cœur,

ma sœur, ma fiancée,

par un seul mouvement

de ton cou.

10Que de beauté dans tes caresses,

ma sœur, ma promise !

Que de beauté dans tes caresses,

elles sont meilleures que le vin.

Ton huile parfumée m'enchante

plus que tous les baumes odorants.

11Ma fiancée, du miel

coule de tes lèvres,

et ta langue cache

un lait parfumé de miel.

Tes vêtements

ont l'odeur des bois du Liban.

12Tu es mon jardin privé,

ma sœur, ma fiancée,

ma source personnelle,

ma fontaine réservée.

13Tes formes élancées

sont un verger de paradis

planté de grenadiers aux fruits exquis.

Il embaume les parfums du henné et du nard,

14du nard et du safran,

du laurier et de la cannelle

avec ceux de tous les bois odorants ;

et aussi les senteurs

de myrrhe et d'aloès

avec celles des baumes les plus fins.

15Le jardin a une source,

une fontaine d'eau vive

qui ruisselle du Liban.

Elle

16Réveille-toi, vent du nord,

viens, vent du midi,

répands les parfums de mon jardin,

pour qu'il exhale ses senteurs !

Et toi, mon bien-aimé, entre dans ton jardin

pour en manger les fruits exquis.

Cantique 5

Lui

1J'entre dans mon jardin,

ma sœur, ma fiancée,

et j'y fais ma cueillette

de myrrhe et d'herbes parfumées ;

j'y mange mon rayon de miel,

j'y bois mon vin et mon lait.

Amis

Mangez, mes amis,

buvez, enivrez-vous de caresses.

Elle lui ouvre sa porte, mais trop tard

Elle

2J'étais endormie,

mais mon cœur restait en éveil.

J'entends un bruit !

C'est mon bien-aimé

qui frappe à la porte :

Lui

« Ouvre-moi,

ma sœur, ma tendre amie,

ma colombe, ma parfaite.

Ma tête est couverte de rosée

et mes cheveux sont trempés

des gouttes de la nuit. »

Elle

3J'ai retiré mes vêtements,

je ne vais pas me rhabiller !

Je viens de me laver les pieds,

je ne vais pas les salir !

4Mon bien-aimé passe la main

par le trou de la porte,

et j'en ai le cœur battant.

5D'un bond je suis debout

pour ouvrir à mon bien-aimé.

Mes mains et mes doigts

ruissellent d'huile de myrrhe,

quand je saisis la poignée du verrou.

6J'ouvre à mon bien-aimé ;

mais il est parti, il n'est plus là.

J'avais perdu mes moyens lorsqu'il parlait.

Je le cherche, et je ne le trouve pas.

J'ai beau l'appeler, il ne répond pas.

7Mais je rencontre les gardes,

qui font leur ronde

sur les remparts de la ville.

Ils me frappent, ils me blessent,

ils m'arrachent mon châle.

8Filles de Jérusalem,

je vous le demande instamment :

si vous rencontrez mon bien-aimé,

que lui raconterez-vous ?

Que je suis malade d'amour !

Les filles de Jérusalem

9Dis-nous, toi la plus belle des femmes,

qu'a-t-il de plus qu'un autre,

ton bien-aimé ?

Oui, qu'a-t-il de plus qu'un autre, ton bien-aimé

pour que tu nous fasses pareille demande ?

Elle

10Mon bien-aimé

est reconnaissable entre dix mille

à son teint resplendissant et cuivré.

11Sa tête est d'or, d'or pur.

Ses cheveux bouclés

ondulent comme les fleurs de dattier,

ils sont noirs comme le corbeau.

12Ses yeux ont le charme des colombes

penchées sur un ruisseau ;

ils semblent baigner dans du lait,

comme logés dans un écrin.

13Ses joues sont un parterre odorant,

un bouquet parfumé.

Ses lèvres ont l'éclat du lys

où perle une huile de myrrhe.

14Ses bras sont comme un anneau d'or

incrusté de pierres précieuses.

Son ventre est une plaque d'ivoire

couverte de saphirs.

15Ses jambes font penser

à des colonnes de marbre blanc,

solidement plantées

sur des socles d'or fin.

Il a fière allure,

comme les monts du Liban ;

il a l'élégance des cèdres.

16Sa bouche est douce à mon baiser,

tout en lui est désirable !

Tel est mon bien-aimé,

filles de Jérusalem,

tel est mon ami !

Cantique 6

Les filles de Jérusalem

1Dis-nous, toi la plus belle des femmes,

où est-il allé, ton bien-aimé ?

Quelle direction a-t-il prise ton bien-aimé ?

Nous voulons le chercher avec toi.

Elle

2Mon bien-aimé est descendu dans son jardin,

dans son parterre odorant,

pour y trouver sa pâture

et y cueillir les lys.

3Je suis à mon bien-aimé,

et mon bien-aimé est à moi !

Il trouve sa pâture

là où poussent les lys.

Portrait de la bien-aimée

Lui

4Tu es belle, ma tendre amie,

comme la cité de Tirsa,

ravissante comme Jérusalem,

redoutable comme des bataillons de soldats.

5Détourne un peu les yeux,

car ton regard me trouble.

Ta chevelure évoque

un troupeau de chèvres

qui dévale du mont Galaad.

6Tes dents me font penser

à un troupeau de moutons

qui remontent du point d'eau.

Chacune a sa sœur jumelle,

aucune ne manque à l'appel.

7Derrière ton voile

tes pommettes sont rouges

comme une tranche de grenade.

8Le roi peut bien avoir

soixante reines,

quatre-vingts concubines

et des jeunes femmes sans nombre :

9elle est unique, ma colombe, ma parfaite,

seule fille de sa mère

et son enfant préférée.

Les autres femmes, en la voyant,

vantent son bonheur.

Les reines et les concubines du roi

font d'elle cet éloge :

10« Quelle est donc cette femme,

qui a la fierté de l'aurore,

la beauté de la lune,

l'éclat du soleil,

et qui est redoutable comme des bataillons de soldats ? »

11Je suis descendu au parc des noyers,

pour voir les jeunes pousses

dans le vallon,

pour voir si la vigne bourgeonne

et si les grenadiers sont en fleur.

12Mais je n'y comprends plus rien ;

tu me fais perdre mes moyens,

fille de parents nobles.

Cantique 7

Autres

1Reviens, reviens, Sulamite,

reviens donc

et laisse-nous te regarder.

Pourquoi regarder la Sulamite

entraînée dans la danse à deux camps ?

Lui

2Que tes pieds sont jolis

dans tes sandales, princesse !

La courbe de tes hanches

fait penser à un collier

sorti des mains d'un artiste.

3Le bas de ton ventre

forme une coupe ronde,

où le vin parfumé

ne saurait manquer ;

ton ventre est une colline de blé

entourée de lys.

4Tes deux seins sont comme deux faons,

les jumeaux d'une gazelle.

5Ton cou ressemble à la tour d'ivoire.

Tes yeux me rappellent

les étangs de Hèchebon,

à la sortie de cette grande cité.

Ton nez est semblable

à la tour du Liban,

qui monte la garde en face de Damas.

6Ta tête se dresse fièrement

comme le mont Carmel.

Les mèches de tes cheveux

ont des reflets de pourpre ;

un roi est pris à leurs boucles.

7Que tu es belle et magnifique,

mon amour,

toi qui fais mes délices !

8Et quelle ligne élancée !

On dirait un palmier-dattier ;

tes seins en sont les grappes.

9Ce qui me fait dire :

« Je monterai au palmier

pour mettre la main sur ses fruits ! »

Que tes seins soient aussi pour moi

comme des grappes de raisin,

et le parfum de ton souffle

comme l'odeur des pommes !

10Que ta bouche soit

comme le bon vin…

Elle

…oui, un bon vin

que je réserve à mon bien-aimé

et qui glisse sur nos lèvres endormies.

11Je suis à mon bien-aimé

et ses désirs se portent vers moi.

Le bonheur d'être aimé

Elle

12Viens, mon bien-aimé, sortons,

allons passer la nuit

parmi les fleurs de henné.

13Nous serons de bonne heure aux vignes,

nous verrons si elles bourgeonnent,

si les bourgeons s'ouvrent,

et si les grenadiers sont en fleur.

Et là je te donnerai mes caresses.

14Les pommes d'amour

libèrent leur senteur.

À notre porte nous avons

toutes sortes de fruits exquis,

des nouveaux et des anciens.

Mon bien-aimé, je les ai réservés pour toi.

Cantique 8

1Comme j'aimerais

que tu sois mon frère,

nourri au sein de ma mère !

Quand je te rencontrerais dehors,

je pourrais t'embrasser

sans provoquer les critiques.

2Je te conduirais : je te ferais entrer jusque chez ma mère,

et tu m'instruirais.

Je te ferais goûter à mon vin parfumé

et au jus de mes grenades.

3Sa main gauche soutient ma tête,

son bras droit enlace ma taille.

Elle ou Lui

4Filles de Jérusalem,

je vous le demande instamment :

n'éveillez pas, ne réveillez pas

mon aimée

avant qu'elle le veuille.

Autres

5Quelle est cette femme,

qui arrive du désert

appuyée au bras de son bien-aimé ?

La force de l'amour

Elle

Je te réveille sous le pommier,

là où ta mère t'a conçu,

là où elle t'a mis au monde.

6Place-moi comme une marque gravée sur ton cœur,

une marque gravée sur ton bras.

Car l'amour est aussi fort que la mort ;

la passion aussi impitoyable

que le monde des morts.

Elle est une fièvre brûlante,

elle frappe comme la foudre.

7Toute l'eau des océans

ne suffirait pas à éteindre l'amour.

Toute l'eau des fleuves

serait incapable de l'emporter.

Celui qui offrirait tout ce qu'il possède

pour acheter l'amour

ne recueillerait que le mépris.

Autres

8Nous avons une jeune sœur,

qui n'a pas encore de seins.

Que ferons-nous pour elle,

quand il sera question de la marier ?

9Si elle est un rempart,

nous bâtirons sur elle

des créneaux d'argent.

Si elle est une porte,

nous bloquerons cette porte

par une barre de cèdre.

Elle

10Je suis un rempart, moi ;

mes seins en sont les tours.

Alors, pour lui, je suis

celle qui fait son bonheur.

Lui

11Salomon possède une vigne

à Baal-Hamon,

et il l'a confiée à des gardiens.

Chacun devait lui remettre

mille pièces d'argent pour son fruit.

12Salomon, tu peux garder

les mille pièces d'argent,

dont deux cents pour les gardiens ;

ma vigne à moi, je la garde moi-même.

13Toi qui es assise dans ces jardins,

des amis tendent l'oreille à ta voix.

Mais c'est à moi que tu dois dire :

14« Pars vite d'ici, mon bien-aimé,

et semblable à une gazelle

ou à un jeune cerf,

rends-toi sur les monts parfumés. »

Alliance biblique françaisev.4.24.4
Suivez-nous sur les réseaux sociaux